Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

régulation et contrôle - Page 3

  • Le moralisme politique

    La morale est toujours mauvaise conseillère en politique et c’est un désastre en géopolitique. Un peu d’éthique c’est mieux, mais avec mesure car l’éthique c’est comme l’altruisme pour que ce soit objectif il faut que ce soit réciproque.

    Il nous faut revenir à ce qui nous est proche, compréhensible et maitrisable : le local, la communauté, être et rester factuel, faire en sorte que ce qui est objectif prime sur le subjectif, savoir les distinguer.

    Même si notre lecture des faits est différente il nous faut trouver des « points » de rencontre incontournable (des nœuds en terme de systémique)

    Je propose de nous retrouver sur ces 7 problématiques et d’avancer à partir d’elles sur nos « objectifs localistes ».

    Les problématiques

    1) Gestion des ressources, décroissance

    2) Absence de régulation, de contrôle et de remédiation

    3) Surpopulation

    4) Immigration

    5) Islamisation

    6) Union européenne

    7) Mondialisation, globalisation

    Exemple :

    Immigration. Sur 830 000 naissances recensées en France en 2006

    165 000 venaient de l’immigration. Le taux de fécondité des maghrébines était de 2,7, des noires d’origine africaines de 4,2.

    Actuellement 40 à 45 % des jeunes sont d’origine Afrique noire, Maghreb, Turquie

    A partir de cette « entrée » examinons (sans moralisme) les relations, les interactions et les rétroactions entre les 6 autres problématiques et, si nous resterons impuissants sur le plan « global », nous saurons que faire sur le plan local.

    A vos fractales !

    Francis-claude Neri

    24 09 20

     

  • « Les Traîtres »

    Le réquisitoire incomplet du procureur Rioufol.

    Par Michel Geoffroy, auteur de La Super-classe mondiale contre les peuples ♦ Le nouvel essai d’Ivan Rioufol, éditorialiste bien connu, Les Traîtres[1], se lit avec grand intérêt d’autant plus que le sujet est vraiment d’actualité.

    Le crime consiste à déconstruire la France, à insulter son peuple et à réduire au silence tous ceux qui contestent ce suicide organisé et que l’on accuse de « déclinisme », de « populisme », d’extrémisme de droite et même d’antisémitisme.

    Le crime consiste à abandonner les Français à leur sort, pour leur préférer les personnes d’origine immigrée et de religion musulmane.

    Le crime, c’est l’indifférence des puissants vis-à-vis des Français d’origine, « moqués par des humanistes en chaise longue, uniquement sensibles à la maltraitance animale et au mal-être des immigré ». Pendant que les Français, devenus des exilés de l’intérieur, « constatent que leurs intérêts passent après ceux des minorités plaintives et querelleuses [qui] ont créé leur nation dans la nation ». Avec l’aide des traîtres.

    Le crime, c’est d’avoir fractionné la France en trois parties désormais séparées et hostiles : d’une part, la France privilégiée, oligarchique, la France des traîtres qui prônent d’autant plus le « vivre ensemble » qu’ils font tout pour y échapper personnellement.
    La France immigrée, d’autre part, objet de toutes les sollicitudes de la France privilégiée. La France périphérique, enfin, celle de la classe moyenne moquée et oubliée par la France privilégiée mais qui doit payer les transferts sociaux au profit de la France immigrée. Et qui doit surtout se taire.

    Le crime serait de ne pas désigner nommément les coupables qui depuis au moins 40 ans assassinent la France et les Français.

    Le crime serait de continuer à voter pour ceux là même qui dirigent les armées assassinent et à qui nous faisons des funérailles nationales.

    NOTRE crime serait de ne pas commencer à s’en débarrasser à l’occasion des municipales.   

    https://www.polemia.com/les-traitres-le-requisitoire-incomplet-du-procureur-rioufol/#prettyPhoto

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/
    11 03 20

  • La quadrature du cercle


    Les sociétés développées ont atteints les limites de leur capacité d’adaptation au changement ; d’où le vote populiste et les colères justifiées de Salvini.

    Il y a encore plus inquiétant, c’est la course en avant de l’expansion démographique qui s’oppose aux colères de la nature.

    Ajuster, réguler, contrôler, remédier en permanence aux dysfonctionnements économiques, financiers et d’autre part réguler l’exploitation de la nature est la quadrature du cercle ; mais l’humanité doit y parvenir sous peine de disparaître.

    20 08 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/